jeudi 28 mars 2013

Frigide BARJOT : Frigide je ne sais pas, BARJOT : pas autant que ça


J’aurais pu titrer : Comment faire lorsqu’on a une carrière au point mort ? Ou bien : Il fallait bien une relève à Dieudonné.

L’égérie du mouvement anti- mariage pour tous, mariée à celui qui écrivait les textes de Pasqua, avait bien besoin de relancer sa notoriété.
Issue d’une famille bourgeoise marquée à droite, voire plus, elle a sauté sur l’occasion d’un mouvement dans lequel aucune icone du show business n’était pour pointer son nez et relancer sa carrière.

Tout ceci aurait pu être marrant si elle s’était contentée de jouer son rôle d’artiste.

Je suis partagé entre 2 avis :
-         -   Elle est le prétexte pour focaliser l’attention et masquer le visage du FN, de CIVITAS et du GUD dont son mari et son Beau-Frère sont des anciens. Utilisée par Christine BOUTIN et son équipe pour rendre plus fréquentable et audible cette cause.
-          -  C’est elle qui représente l’extrême droite que les amis de Christine BOUTIN ont peur d’exhiber. Sachant que Marine LE PEN elle-même n’appelait pas à la manif pour diverses raisons. Dont une que je donnerai  lorsque j’aurai vérifié l’info
Dans les deux cas, ce mouvement anti mariage pour tous est le produit de comm des durs du FN et partis proches.
D’un point de vue  purement médiatique la chose est superbement orchestrée.

Nous avons d’un côte : Le PCD qui parvient avec Christine BOUTIN à se faire un nom sur un dossier médiatique, et d’un autre côté, le FN qui manipule depuis les coulisses les calotins anti sémites et homophobes en mal de popularité.

A côté de ces gens, il y a le pauvre Jean-François COPE qui vient tout juste de comprendre que ce sujet était le seul qui pouvait différencier la politique de Hollande de celle qu’il mènerait s’il était aux affaires.
Mais il semble que les calotins ne l’apprécient pas plus que ça, la bataille est réservée au Cathos bien rétrogrades qui ne voient pas comment lui, juif  non pratiquant, viendrait se mêler de cette affaire de bons français.

Ces bons Français là, me font espérer tous les matins de ne pas les avoir comme voisins si l’histoire bégayait, et qu’un jour on vienne arrêter à leur domicile, les juifs, les communistes, les organisateurs de salons et autres (normalement, ces gens-là disent : pourquoi les organisateurs de salons ?)
Parce que, c’est de ce bois qu’étaient fait les bons collabos qui ont balancé mon père à la GESTAPO en 1943.

Ce qui m’épate le plus, c’est que des gens que je connais et que j’apprécie se fourvoient dans cette affaire.
Je ne les soupçonne même pas de vouloir faire leur carrière politique tant elle est bien amorcée pour l’un et bien confirmée pour l’autre.

Que peut-il se passer dans la tête des gens, élus de la République de venir mêler la foi à la loi républicaine ?
Je n’ai pas élu le Pape, je ne m’occupe pas de ce qui se passe sous sa soutane.

J’en reviens donc à Frigide BARJOT, loin d’être BARJOT, elle est l’outil qui sert à banaliser le FN.

Je me souviens de l’époque à laquelle je l’avais rencontrée.
C’était à la soirée qui précède l’ouverture du Mondial « La Marseillaise » à Pétanque au Château Ricard à Marseille  Elle n’avait pas, à l’époque, craché sur l’invitation des communistes à cette soirée.

C’est vrai que cette soirée, à laquelle j’ai longtemps été invité, n’avait pas parmi les stars qui s’y trouvaient  les Rolling Stones, ni Jean DUJARDIN, mais plutôt les ex gloires éphémères de la télé réalité qui n’avaientt pas réussi à percer, ou des Has been voire Never been plus ou moins imbibés d’alcool, heureux qu’on les reconnaisse malgré les années et les liftings plus ou moins réussis.

On comprend mieux aujourd’hui que l’opportunité de revenir sous les feux de la rampe au 20 h l’ait séduite alors que seul les régionales de France 3 au moment d’un concours de Pétanque lui était réservé.

C’était d’ailleurs marrant que Frigide fasse un concours de boules !

Elle aurait pu se battre avec le DAL, les Restos du Cœur, Les Bouchons d’amour etc ….. Mais la place était prise par des personnalités plus en place qu’elle.

Je ne sais pas vous, mais moi elle ne m’amuse plus, ça pue la peste brune tout ça !

mardi 26 mars 2013

Egalité Hommes-Femmes (GREMETZ/BOUTIN) : c’est aussi vrai pour les coups de matraque dans les manifs.


Je suis l’affaire de la manif contre le mariage pour tous.
Je ne vais pas parler du mariage, c’est fait, l’affaire est entendue, et de plus, ce n’est pas ça qui va changer ma vie, le mariage n’étant pas au programme de ces 30 prochaines années (je ne me suis même pas posé la question du sexe).
Je reviens juste sur les hurlements que poussent les opposants à ce projet de loi.

Hurlements sur la loi :
 Le Président de la République avait été élu, et ce point était au programme. Donc, il n’y a pas tromperie.
En revanche, si nous devions lui faire des reproches, ce serait sur la santé de l’économie qui devait s’améliorer, sur l’emploi qui devait revenir, sur les fermetures d’usines qui devaient s’arrêter.
Je rappelle que lorsque nous étions dans la rue pour lutter pour conserver notre droit à la retraite à 60 ans, nous disaient que nous étions irresponsables, que la loi passerait qu’on soit dans la rue ou pas.
Et la loi est passée, et la retraite s’est un peu éloignée.
Hurlements sur la manière dont ont été traités les manifestants :
Nos amis ont découvert les lacrymos et les coups de matraque, encore quelques manifs, et il n’en restera plus rien.
Il est certain qu’une partie de ceux qui les accompagnaient ne leur ont pas rendu service. Mais, quand on veut s’allier avec les mouvements « CIVITAS », le « GUD » et autres mouvements d’extrême droite, il faut en assumer les conséquences.
On ne peut pas jouer avec le feu sans se brûler.
Pour avoir rencontré Christine BOUTIN, Jean-Frédéric POISSON et Matthieu COLOMBANI, je pense, ou du moins j’espère, qu’ils vont cesser de penser que mettre des gens dans la rue à tout prix, même des groupes d’extrémistes, peut rendre service.
Les hooligans ne sont plus dans les stades, ils sont dans les manifs, les défilés du mois de mai, et ces appels à la contestation de droite leur donnent des opportunités supplémentaires de faire le coup de poing.
Vous ne gagnerez rien à les garder dans vos manifs.

Enfin, j’ai noté que Christine BOUTIN avait été bousculée et gazée, toute la droite est montée au créneau.
Pour mémoire, en Septembre 2009 pendant les manifs contre la réforme de droite des retraites, avec la police de droite d’Hortefeux ou Guéant, peu importe, Maxime GREMETZ (70 ans à l’époque) a été bousculé, et transporté, inconscient, à l’Hôpital, après que des gens ont reconnu le Député de la République de l’époque.
Je n’ai pas entendu Copé, Jean-Frédéric POISSON, Christine BOUTIN ou Mathieu COLOMBANI protester que l’on avait matraqué un député de la République.
BOUTIN vaut bien GREMETZ, un matraquage est un matraquage, et en ces temps où les femmes demandent à être les égales des hommes, je ne vois pas pourquoi elles ne prendraient pas quelques coups de matraques dans les manifs comme les hommes.
Ceci étant dit, vous redonnez du sens aux mots : Réactionnaires, Rétrogrades et Dépassé.
Personne ne vous empêche de vous marier  avec qui vous voulez, de faire des enfants comme vous voulez. En ce qui me concerne, je ne suis révolté qu’à l’annonce par la presse de scandales de pédophilie avec des membres du clergé, mais c’est mon côté coco qui ressort, vous trouvez peut-être ça normal.







jeudi 21 mars 2013

Un train peut en cacher un autre, une information doit en cacher une autre.




Je réagis à deux infos du JT de la 2 hier soir, et j’en profite pour vous demander si vous avez la même lecture que moi des contenus des infos sur les grands médias.
1ère Info : 5% de français de plus que l’année dernière renoncent à partir en vacances faute de moyen.
Vous remarquerez que le chiffre donné est celui d’une progression : 5%, chiffre donné à l’occasion du salon mondial du tourisme.
Le chiffre donné est volontairement faible. Pour le comprendre, il faut aller chercher dans les stats de l’année dernière. 54% des français n’étaient pas partis.
A suivi, un reportage sur les nouvelles tendances de vacances, d’hébergement etc…. Je poserai la question différemment.
Comment se porte l’industrie du tourisme ? Si moins de gens partent en vacances, il y aura moins de salariés saisonniers, moins de salaires, plus de gens au chômage, moins de cotisations dans les caisses, moins de chiffre d’affaire etc….
D’un côté, nous touchons du doigt les conséquences de la crise que nous imposent les banques, le capital et la gloutonnerie des actionnaires toujours plus avides de profit.
D’un autre, nous mesurons l’effet de l’arrivée de grands groupes dans ce qui n’est plus un secteur d’activité mais un marché, une industrie et une source de profit.
Ces gens préfèrent augmenter leurs marges avec moins de monde mais payant plus cher, plutôt que de pratiquer des justes prix pour permettre au plus grand nombre de partir en congés.
Mais qu’a-t-on fait des luttes de 1936 ?

Reste ce que je croyais être un refuge : le tourisme social.

Peut-on encore  qualifier d’Association de Tourisme Social un organisme qui pratique les mêmes prix que les grands groupes privés ?
Je vous encourage à aller feuilleter les brochures des grands noms de ce secteur, sans exception (Touristra, VVF, VTF, Ligue de l’enseignement etc…) et vous verrez qu’il vous en coûtera au mois de juillet plus de 700 euros par personne pour une semaine dans un centre de vacances qui n’est pas au bord de mer. Hors transport évidemment.

Comment un couple avec 2 enfants peut mettre 2800 € pour une semaine ? Même avec un abondement du C.E de plus en plus réduit, avec les bons CAF, avec les chèques vacances etc….

Pas étonnant dans ces conditions que de plus en plus de français renoncent aux vacances.

L’austérité imposée par les gouvernements poussent à la ruine des pans entiers de notre économie.
Chaque fois qu’on stigmatise un automobiliste en le qualifiant de pollueur et d’assassin, chaque fois qu’on lui invente une nouvelle taxe, qu'on implante un nouveau radar, c’est un emploi dans l’automobile qu’on menace.
Chaque fois qu’on pousse les usines à la fermeture, en ne favorisant pas une hausse des salaires et en ne créant pas d’emploi, ce sont des emplois par milliers qu’on sacrifie par effet domino.

Puis pour cacher cette info, on nous dit : Ce jour est l’anniversaire des parapluies de Cherbourg.

Mais qu’est-ce qu’on en a à foutre ?

Reportage sur la fabrication de parapluies,  bio de Jacques DEMY. 

Faites un tour sur la boutique, le pébroque coûte entre 100 et 300 €. Tu n’as pas les moyens de te payer des vacances, mais pour un label, "véritable CHERBOURG", tu dois pouvoir faire un effort.
Si par bonheur, vous en avez un, maintenant que vous en connaissez le prix, mettez-le sur Ebay et échangez un petit coin de paradis contre un coin de parapluie. 100 € selon où vous allez, si vous partez, ne couvriront peut-être pas le péage

mardi 19 mars 2013

Le congrès de la CGT


A l’occasion du 50ème congrès de la CGT, j’entends sur les radios et à la TV  des choses qui m’énervent.
Tout d’abord, la manière dont est traitée l’information :
2 mn au 20 h de la 2, si on compare avec le congrès qui a débouché sur l’élection du Pape par une poignée de grabataires, c’est ridicule, d’autant plus que dans notre république laïc, on n’en fait pas autant pour l’Imam de Paris ou le Grand Rabbin de France.

La première organisation syndicale française qui nomme un nouveau secrétaire général dans cette période de crise et de chômage en pleine hausse, mériterait un autre traitement. J’ai le souvenir d’un meilleur accueil pour les universités d’été du MEDEF ou du PS, ou même le congrès de FO.

Sur les commentaires : l’abruti d’Europe 1 ce matin m’a particulièrement chauffé les oreilles.
Qu’un journaliste n’apprécie pas l’Organisation Syndicale et sa politique, je ne vois rien de condamnable, surtout dans une radio qui reflète le grand Capital et qui pue le fric.
Mais il y a des termes qui frôlent la faute professionnelle sur la forme :
Qualifier une organisation, quelle qu’elle soit de RETROGRADE est inacceptable. C’est un jugement de valeur, et un journaliste digne de ce nom ne doit pas en porter.
Sur le fond : dire que la CGT est en miettes et déchirée, parce que dans les boites elle signe des accords, alors qu’elle ne signe pas au national est le comble de la désinformation.
Il y a quelques années,  la CGT était qualifiée de totalitaire, à la botte du Parti Communiste, sous prétexte qu’aucune tête ne dépassait.
Lorsqu’elle applique une ligne confédérale, la CGT est une organisation dictatoriale, lorsqu’elle respecte les adhérents et les travailleurs, elle est en miettes.
Je suis à la CGT parce qu’en ma qualité de Délégué, ce sont les adhérents et presque toujours l’ensemble des salariés qui décident de ce que je dois signer ou pas. Ma CGT à moi, elle est démocratique, respectueuse des gens.
La CGT à laquelle j’adhère n’est pas parfaite. Simplement elle est faite de femmes et d’hommes.
Bien sûr, il y a les plus médiatiques : Bernard THIBAULT et aujourd’hui Thierry LEPAON, mais surtout, il y a 700 000 adhérents que je rencontre à longueur d’année.
Je citerai : Phlippe BOUTANT, Handy BARRE, Serge STAQUET, Didier LOUVET, Bernard POIRAUDEAU, Jacky WAGNER, Catherine LECOQ, Alain SEBILE, Philippe GIQUIAUD, je ne le citerai pas tous, mais tous le mériteraient.
Tous ces Camarades, depuis des années, voire des décennies se battent et donnent leur temps, leur énergie, leur vie de famille aux autres, à ceux qui sont dans la galère.
Alors par respect pour ceux-là, lorsqu’on est chroniqueur à la radio, on modère son propos.

Je vous propose de revoir les vidéos de quelques-uns de ces Camarades. Vous comprendrez ce que c’est que d’être militant syndical à la CGT.
Alors j’adresse aux Camarades qui liront cet article mes amitiés les plus fraternelles, et je nous souhaite un bon congrès.
Tous ensemble dans la lutte pour gagner de nouveaux droits pour les travailleurs !



jeudi 7 mars 2013

Ma rencontre avec Philippe BOUTANT

J'ai rencontré Philippe il y a quelques années. 

Camarade relation de travail au début, il est devenu un de ceux que je consulte régulièrement avec Marcel BLONDEL (CFTC Ile de France), Didier LOUVET (CGT Nord-Pas de Calais) Pascal LAGRUE (FO 69) pour valider mes idées et la cohérence des actions que je veux mener sur salon.

Je lui accorde toute ma confiance.

Il a une analyse politique très pointue, une vision du syndicalisme très juste et un jugement certain.

Le temps a fait son office et il est un très bon copain.

J'espère travailler un peu plus avec lui, car il m'apprend beaucoup.




mercredi 6 mars 2013

Ma rencontre avec Agnes NATON

J'ai rencontré Agnès NATON quelques semaines après sa prise de fonction à la tête de la NVO.

Agnès, responsable nationale d'un syndicat ouvrier montre qu'on peut assumer de hautes fonctions dans une organisation comme la CGT en gardant toute sa féminité.

Elle a été un temps sur la liste des successeurs potentiels de Bernard THIBAULT. Je ne sais pas si vous êtes d'accord avec moi, mais Agnès, Secrétaire Générale de la CGT au 20 h nous aurait fait oublier l'autre femme en charge d'un syndicat, Laurence PARISOT et la violence du monde du travail.

Elle travaille dur pour que la NVO prenne un nouveau souffle. D'ailleurs, ce quinzomadaire a déjà pas mal changé, il suffit de l'ouvrir pour le constater.
Elle n'entend pas s'arrêter là et entend bien faire de la NVO un outil indispensable dans le monde du travail.

Pour résumer, Agnès NATON va nous faire joindre "l'outil à l'agréable".


vendredi 1 mars 2013

Encore un premier « Sans »




Nous connaissons tous des premiers « Sans ».

J’en accumule depuis un peu plus de deux ans.

Celui qui arrive les 3, 4 et 5 Avril, me permet de me souvenir de  tous les autres douloureux ou pas.

Donc les 3, 4 et 5 avril se montera et se tiendra le SalonsCE de Marseille.
Ce salon est synonyme de fin de semestre et de repos bien mérité. C’est aussi celui le plus proche de mon anniversaire, c’est surtout le salon qui m’a fait rencontrer mon métier il y a 23 ans.

Que des choses joyeuses, non ?

Ce sont aussi les premiers beaux jours, nous avons coutume de dire que nous  « jouons à domicile ».
Cette année, pour la première fois depuis sa création ce salon se tiendra sans mon ami Bernard BOURELLY.

Certes son stand sera là.
Il va me manquer car à cette occasion, nous avions toute la palette de ce qui faisait que Bernard était Bernard.

Le jour du montage Bernard était perfectionniste tendance casse-couilles. Tout devait être impeccable et pratique, bref, le truc impossible.

Sur le salon, l’équipe devait être opérationnelle avant l’ouverture au public pour accueillir dans les meilleures conditions les visiteurs, élus de CE, qui avaient beaucoup de choses à faire sur leur temps de visite. Le respect des Représentant du Personnel était le centre de ses préoccupations.

Mais le respect devait être réciproque, il n’acceptait pas de ne pas être considéré en retour.

Bernard était à l’heure à l’ouverture du salon, mais était aussi respectueux de l’organisation et des derniers visiteurs en ne démontant pas son stand avant l’heure de fermeture.

Durant les deux jours, il était disponible pour tous en fonction de sa priorité, les visiteurs.
Il était présent lors du cocktail à la fin du premier jour avec son équipe et tous ceux qui étaient venus animer son stand.

Lorsqu’on lui donnait la parole, il la prenait et livrait son avis en toute objectivité avec respect et sans complaisance.
Mais ça, c’est le point de vue de l’organisateur. C'est annexe, secondaire....

Et je ne suis pas uniquement un membre de l’organisation.

Pour moi, ce sera le premier salon de Marseille sans mon Ami Bernard, celui que je chambrais sur son caractère, avec qui j’échangeais une fois dans l’année sur les CE, le monde du travail et plein d’autres sujets proches de mes préoccupations professionnelles.
Nous avions bien d’autres choses à échanger le reste de l’année chez lui ou chez moi.

Le temps, la nature et le business sauront combler ce vide, Maxime est un bon héritier, et ce n’est pas trahir un secret  que de dire que Bernard m’avait confié qu’il était fier du travail de Maxime.
Pour moi, il y aura un trou sur ce salon, le vide créé par la suppression du privilège de travailler avec un ami pas loin. La chance de pouvoir rester avec Bernard 2 jours complets, pour l’écouter et apprendre.

Voilà, dans un peu plus d’un mois, ce sera un Premier Salon de Marseille en Avril SANS Bernard.